Road trip in Bali & Lombok #1

Me voilà revenue de mes fabuleuses vacances en Indonésie et vu que je sais que certain(e)s d’entre vous s’y rendent dans les prochaines semaines, j’ai voulu partager avec vous mon voyage et vous conter ma première fois en Asie.

Tout d’abord, je ne saurai que vous conseiller d’acheter le guide « Lonely Planet : Bali et Lombok » édition de juin 2015 si vous partez cette année, si vous souhaitez visiter ces deux îles. On l’a tous les deux lu (bon ok, Tim plus que moi) et ça nous a aidé à prévoir notre voyage car ils donnent de très bonnes informations.

A la base, on devait juste visiter les îles flores mais on s’est dit que deux semaines c’était bien trop court, du coup on s’est concentré sur Bali et l’île voisine et encore moins touristique, Lombok. On reviendra faire les îles Flores et Komodo ainsi que Java une prochaine fois 🙂 Je n’avais jamais organisé un tel voyage de ma vie, j’avoue que j’adore me laisser guider, mais mon mec m’a un peu foutu la pression (et il a raison), pour que je m’investisse un minimum. On a booké nos vols mi-juin pour un départ le 07/8 au soir, autant vous dire qu’on a quand même payé nos billets super chers. Vu que nous avons tous les deux des AMEX Air-France, on voulait absolument voyager sur cette compagnie pour avoir des vols qualifiants. On a beaucoup regardé les prix sur Kayak.fr et les prix tournaient autour de 1500€ en moyenne l’A/R pour nos dates.

Et bien en regardant dans la partie « bons plans » d’Air France, on a réussi à trouver notre vol A/R pour environ 1400€ avec une longue escale à Singapour, mais si vos dates sont flexibles, foncez car vous avez le moyen d’économiser beaucoup, beaucoup d’euros. Du coup on a pu se prendre des sièges premium pour l’aller et le retour, j’avoue que j’appréhendais énormément ces vols, car même si je n’ai pas peur en avion, je ne supporte pas le fait d’être enfermée autant de temps sans pouvoir dormir correctement (oui, j’aurai préféré voyager en business mais bizarrement ça explosait mon budget vacances) mais franchement, les avions sont modernes, on était quand même très bien installés et le temps est passé vite (j’ai ainsi pu rattraper mon retard des dernières sorties ciné !)

L’escale nous faisait arriver à 14h15 à Singapour, j’avais hâte de pouvoir découvrir cette ville avant de reprendre l’avion le lendemain matin à 7h55. Ca a été un peu la galère pour sortir de l’aéroport car on a été super mal renseignés. Je me permets de vous donner les infos ici, ça peut aider certains d’entre vous.

Quand vous êtes dans l’avion, le personnel va vous distribuer un formulaire pour la douane, si vous êtes en escale et que vous souhaitez sortir de l’aéroport (genre vous avez plus de 7h d’attente entre deux avions, voir comme nous, 17h, sortez !)

ESCALE SINGAPOUR

Nous avons souhaité dormir près de l’aéroport car l’avion le lendemain était très, très tôt. Et finalement, le taxi aller/retour pour aller à l’aéroport ne nous a pas coûté si cher et on était à 20/25 min du centre ville (ça roulait très bien, ouf !).

Nous avons demandé à notre guide de nous arrêter au Marina Bay Sands, je voulais voir cette merveille architecturale de mes yeux. Je n’ai pas été déçue du voyage, cet hôtel est dingue, j’espère pouvoir y dormir lors de mon prochain passage à Singapour ! Nous avons pu monter au 56ème étage et découvrir la terrasse et la vue sur la ville, après avoir payé 23$ singapourien par personne.

Après en avoir pris plein les yeux, direction les jardins de la baie et le centre commercial, The Shoppes at Marina Bay Sands où nous avons dîné. C’était dingue, car il y avait plein de petits restaurants asiatiques, j’ai dîné coréen pour ma part sauf que c’est la guerre pour avoir une table donc les gens essayent d’abord de se trouver une place avant d’aller chercher à manger, ce que nous n’avions pas fait. Nous avions ainsi dîné debout, j’avais pris un plat donc le contenant était en fonte, ça pesait une tonne et après avoir tourné 15 minutes, nous nous sommes rabattus sur une table debout. Pas top, donc sachez le si vous vous trouvez là bas…

Nous sommes ensuite sortis, en attendant le feu d’artifice pour les 50 ans de l’Indépendance de Singapour. On a réussi à trouver une table en face du feu d’artifice et discuter avec les 3 singapouriennes à côté de nous, c’était bien chouette !

DIRECTION BALI !

Dimanche 9/8, nous prenons l’avion à 7h55, arrivons à Bali à 10h30 passés.

Une fois la douane passée (pas besoin de payer un visa si vous êtes de nationalité française), nous filons ensuite dans un taxi à compteur (très important) (même si finalement, on a négocié un forfait) et nous nous dirigeons vers Ubud, où nous allions passer 3 jours (comptez environ 1h30 de route depuis l’aéroport).

Nous avions réservé au Chili Ubud Cottage pour ces 3 nuits après avoir passé de longues heures sur booking.com à comparer les hôtels entre eux, lire les commentaires des anciens clients, etc. J’ai travaillé 4 ans dans l’univers du tourisme et je gérais des résidences de tourisme, j’attache donc une grande importance à lire tous les avis et les comparer à ceux de TripAdvisor !

Si nous avons réservé notre hôtel et pas attendu d’être sur place pour le faire, c’est tout bonnement car c’est une haute saison et qu’énormément d’hôtels conseillés par nos amis étaient complets et nous ne voulions pas nous rabattre sur un hébergement miteux. Malheureusement, cette première nuit à Bali allait se faire ailleurs, il y avait un soucis dans la salle de bain donc ils nous ont surclassé dans leur autre hôtel, Tebesaya Cottage situé en centre ville et nous ont offert un massage balinais d’une heure en duo pour se faire pardonner. Et ce fut le meilleur massage de ma vie ! Pour info, j’ai adoré cet hôtel pour sa situation géographique (on peut tout faire à pied) et pour la gentillesse et professionalisme du personnel ♥

Conseil : si vous le pouvez, voyagez hors juillet/août car les prix sont multipliés par 3 minimum ! Nos 3 nuits nous ont coûté 176€ mais le prix aurait pu être divisé par 3 si nous étions allé là bas en février par exemple !

HOTELS :

 – Tebesaya Cottage : très bien situé (à côté du centre ville, on peut y aller à pied même si les trottoirs sont inexistants) et très confortable et personnel adorable !

– Chili Ubud Cottage : juste à côté de la Monkey Forest, ils proposent plusieurs petits cottages très mignons et au calme. Seul hic, ils font des travaux en ce moment juste à côté de la piscine donc c’était pas top d’avoir le bruit des travaux + les ouvriers sur leur chantier pendant que tu es au bord de la piscine. Du coup, on n’en a pas profité… Néanmoins, le personnel est aux petits soins et nous ont donné de bonnes adresses et de bons conseils ! Mention +++ pour le petit dej et la qualité du restaurant !

OU MANGER ?

– Warung Biah Biah Jl. goutama 13 Padantegal Kaja, Ubud, Bali : mon coup de ♥ à Ubud ! Pas cher et vraiment très bon. Essayez de manger tout devant face à la rue si vous êtes deux, sinon c’est assez sombre.

– Soma Jl. Gautama, Ubud : on a mangé là car on voulait découvrir un peu autre chose et manger healthy et c’est hyper grand. On était à l’étage, posés et on s’est régalé !

Il y a plein d’autres restaurants à Ubud donc vous aurez le choix !

QUE FAIRE A UBUD ?

Tout d’abord, louez un scooter pour circuler facilement là bas. Cela vous coûtera environ 5€/jour, cela vaut donc le coup ! Nous avons pu nous balader jusqu’au mont Batur, la route est chouette et sur le chemin, arrêtez-vous dans les rizières de Tegallalang pour les visiter. Y a des petits droits de passage sur les chemins (il y en a deux) mais ça ne vous coûterai pas plus de 100.000 rp et la vue est très belle ! On a ensuite mangé dans l’un des restaurants qui donne face aux rizières (vous ne pouvez pas le louper, il y a beaucoup de monde et ils proposent des tables où l’on peut manger assis et à deux, face aux rizières).

Découvrir la Monkey Forest bien entendu ! Notre hôtel était juste à côté donc vous pouvez y aller à pied si vous le souhaitez. L’entrée coûte 30.000 rp par personne (environ 2€) si je me souviens bien et j’ai trouvé ça sympa bien que très touristique, il y a énormément de singes et beaucoup s’amusent à prendre des photos au moment où les singes attrapent les bananes que les visiteurs achètent. Je n’ai pas osé car je ne voulais pas qu’un singe me monte dessus… Et bien au cours de la balade ce fut le cas, je regardais un singe monter sur des personnes quand j’ai senti un animal s’aggripper à ma jambe droite, j’ai hurlé car je ne m’y attendais pas, et il s’est enfuit, la honte !

Assister à un spectacle de danse (Legong). Nous avions assisté au notre à l’Ubud Palace, à 19h30. Allez y une heure avant histoire d’avoir un bon siège car les places ne sont pas numérotées. Pour tout vous dire, on avait deux super places mais on s’est éloignés pour être proche de la sortie car on savait qu’on ne resterait pas jusqu’à la fin car on avait trop faim justement ! Vous pouvez acheter des places aux vendeurs officiels situés dans la rue, ils vous montreront leur badge et cela leur permettra de toucher une commission de leur patron. N’ayez pas peur, vous verrez que les places sont sur des programmes du spectacle mais chaque numéro est différent 😉

Aller au marché. Si vous souhaitez ramener des cadeaux ou acheter un des shorts que vous aurez vu partout. J’ai acheté le mien pour 80.000 rp après négociation, mais j’aurai pu payer beaucoup moins si j’avais voulu vraiment négocier (c’est un peu un jeu là bas).

Vous faire masser. A Ubud, pour 60.000 rp, vous pourrez vous faire masser pour une heure ! Ca vaut vraiment le coup, ça m’a coûté beaucoup, beaucoup plus cher à Lombok !

Faire du yoga. Il y a énormément de cours, mais n’ayant pas pris mes affaires de yoga, je n’ai pas pu y aller. Mais si j’y retourne un jour, j’irais carrément !

Direction Lombok !

Le 12 août, jour de mon anniversaire, nous nous sommes levés tôt, une navette venait nous chercher pour nous emmener à Lombok ! Chaque année pour mon anniversaire je me fais un gros kiff, je réserve un hôtel de folie pour passer une belle journée luxueuse, car je pars du principe que je travaille dur toute l’année, autant se faire plaisir au moins une fois, surtout ce jour là ! J’ai trouvé l’hôtel Qunci Villas à Senggigi, booké une villa avec une chambre et une piscine privée, histoire de débuter ma 28ème année comme il faut ! A la base, je voulais réserver une chambre avec vue sur l’océan mais il n’y en avait malheureusement plus, mais je suis tout de même heureuse de mon choix.

Ce fut le meilleur hôtel dans lequel je suis jamais allée, tout était parfait : les hébergements, les restaurants, la qualité de nourriture, du SPA, la gentillesse du personnel, c’était du pur bonheur !

Pour nous rendre à Lombok, nous avons réservé une navette rapide, Marina Srikandi car c’était l’une des rares compagnies à faire « Padang Bai -> Senggigi). Je n’avais regardé aucun commentaire sur internet car je ne voulais pas me rendre malade mais je crois qu’ils ne sont pas très bien noté. Néanmoins on n’a eu aucun soucis à l’aller et au retour, sauf qu’ils ne sont jamais à l’heure donc si vous devez prendre un avion ou autre, pensez à faire la traversée un jour avant ! Le truc chouette en tout cas c’est qu’à l’aller, ils sont venus nous chercher et au retour, ils nous ont amené dans notre hôtel..

L’hôtel Qunci Villas a été mon préféré, à tel point qu’on y est retourné un peu plus tard (je vous en reparlerai dans la partie 2). Malheureusement toutes les bonnes choses ont une fin et après avoir réservé notre jeep, nous sommes partis direction Senaru, pour dormir au Rinjani Lighthouse avant d’attaquer notre trek le lendemain…

Même si nous avions booké notre trek chez Rudy Trekker et qu’ils proposent des hébérgements, Timothée a préféré réserver ailleurs car ces derniers ne montraient pas les photos dédits hébergements. Finalement, vu que nous sommes arrivés tardivement et qu’il faisait nuit, on a pas du tout profité du Rinjani Lighthouse donc j’ai trouvé l’hébergement assez spartiate même si propre. Et ce n’est pas ce qu’il y a de mieux niveau insonorisation, on entend tout ce qui se passe chez les voisins mais c’est le cas de beaucoup de construction là bas ! Tandis que chez Rudy Trekker, la nuit se fait dans un appartement tout neuf, ils viennent juste de se construire un gros batiment pour accueillir les trekkers.

3 jours, 2 nuits : un trek au Rinjani !

Si comme nous vous pensez faire un trek, je ne peux que vous conseiller Rudy Trekker ! Timothée a cherché longtemps qui serait la meilleure agence pour nous emmener sur le Rinjani. Nous ne voulions pas être dans un groupe car on ne sait jamais sur qui on tombe. Nous étions donc tous les deux, avec un guide (demandez Fahmi !) et deux porteurs (pour les deux tentes, la nourriture, etc). Ca nous a coûté + cher, environ 500$ US en tout mais nous avons été dans le confort absolument avec les tentes prêtes à chaque fois que nous arrivions au campement (les porteurs sont en tongs, portent environ 40 kilos chacun et tracent, c’est impressionnant !), la nourriture était prête et bonne (même si moi j’ai eu l’appétit coupé sans raison apparente au début du trek…j’ai perdu facile 2/3 kilos).

Concernant le trek en lui même, ce n’était pas facile, loin de là. J’ai foncé la tête basse, sans réfléchir à ce que je faisais. J’ai failli pleurer 2 fois tellement j’étais crevée car il faisait chaud et on mangeait de la poussière.

Je porte un tee-shirt AMERICAN VINTAGE

La 1ère journée, nous avons marché 8h, en partant de Sembalun (je ne vous conseille pas de partir de Senaru). Beaucoup de poussière, c’était dur mais j’étais heureuse d’être arrivée en haut ! On a dormi ensuite 1h puis on a profité du soleil en mangeant des bananes frits. Et ensuite, coucher du soleil à 18h, le froid s’est installé, je n’ai pas réussi à manger et je me suis endormie vers 19h30, complètement épuisée.

Lendemain, réveil à 2h du matin et après avoir réussi à avaler un toast, on a commence la fameuse ascension du Rinjani ! Beaucoup de personnes s’étaient déjà lancé, cela donnait un magnifique cortège au flambeau. J’ai compris ma douleur quand j’ai commencé à me prendre la poussière dans la bouche. Plus on montait, plus il faisait froid, plus il y avait du vent. Un vent violent qui nous faisait tanguer, l’angoisse ! Vers 5h45 nous nous sommes arrêtés, il ne nous restait plus que 30 minutes de marche mais ce n’était plus possible, nous étions tétanisés par le froid et par le vent glacial et dangereux, on est redescendu un peu, se mettre à l’abri et avons attendu le lever du soleil pour redescendre tranquillement. Timothée était très déçu de ne pas être allé jusqu’au bout mais pas moi, c’est déjà un exploit d’être arrivé aussi haut sans s’être blessé ! Si c’était à refaire, nous ferions uniquement le programme 2 jours/ 1 nuit et nous le ferions à partir de 5h du matin, en attendant que le vent se lève et que ce soit moins dangereux.

Maillot de bain ROXY

Une fois redescendus au campement, pause sur place, petit déjeuner (toujours pas pour moi…) et c’est reparti : la descente vers le lac ! Et on attaque fort car c’était difficile, glissant et on descend pendant très longtemps sur des grosses pierres… Mais au bout de 2h30 on arrive au lac, nous avions pour notre part decidé d’aller nous baigner dans les Hot Spring, ces sources d’eau chaude directement issues du volcan ! C’était un pure délice car nous n’avions pas pu nous laver la veille (vive les lingettes !). Après déjeuner, nous avons attaqué la partie la + difficile : remonter ! Imaginez vous avec des courbatures et que vous devez monter pendant 3h… Heureusement nous avons été tout de même assez rapides et on s’arrête quand on veut ! Au bout de 2h30, nous étions arrivés au campement où je me suis endormie, épuisée de fatigue ! Pendant ce temps, Timothée est parti voir le coucher du soleil et découvrir les singes qui s’approchent du camp, la nuit…

Le troisième jour, j’ai été réveillée par des bourrasques de vent qui m’ont en fait réveillée toutes les heures la nuit. J’ai eu l’impression que la tente allait s’envoler !!

Nous sommes ensuite partis vers 7h pour cette dernière journée : la descente vers Senaru ! Passée la première étape difficile où l’on devait encore descendre sur de grosses pierres, nous voilà arrivés dans la « jungle » et où l’on marche sur beaucoup de racines d’arbres. Nos corps étaient épuisés, courbaturés mais nous avons réussi à arriver vers 11h20 en bas, où une voiture nous attendait pour nous ramener chez Rudy Trekker. J’en pouvais tellement plus, j’avais mal aux ongles de pied à force de descendre et d’avoir tout mon poids dessus. Mais c’était la délivrance ! Nous étions heureux, mais nous ne sentions plus nos corps. nous avons pu prendre une douche chez Rudy Trekker et ensuite rejoindre notre hôtel dont je vous parlerai dans mon prochain billet !

Les + : Une véritable expérience enrichissante, moi qui étais en guerre contre mon corps, qui m’a pas mal laché ces dernières années. Je suis allée au delà de mes limites, j’ai dépassé cette fameuse zone de confort et je me suis redécouverte + forte. Après 3 jours sans se laver et sans miroir, j’en avais rien à faire de mon image et j’ai pris peur en me lavant, une fois arrivée à l’hôtel ! Mais entendre mon mec m’encourager et me dire qu’il est impressionné par ma force, ça vaut tout l’or du monde. Faut dire aussi que je n’avais quasiment rien avalé pendant tout le trek, sauf les barres d’énergie qu’on avait acheté chez Decathlon et qui m’ont bien sauvé la mise !

Les – : c’est très, très sale. Il y a un vrai soucis avec les déchets en Indonésie et c’est beaucoup plus flagrant en haut du Rinjani. Les camps sont sales, comme les « POS » où l’on fait des pauses. Parce que tout simplement certaines agences de trek laissent les déchets dans la nature au lieu de les ramener. La notre nous demande 10$ (compris dans le prix total) pour redescendre nos déchets. Cela me semble normal mais beaucoup d’agences low cost ne le font pas… Alors c’est sûre qu’il manque des infrastructures sur place pour jeter nos ordures donc pensez à prendre un sac plastique solide pour mettre vos déchets. J’espère sincèrement que le gouvernement indonésien s’intéressera un jour aux ordures en mettant en place des moyens pour gérer les poubelles en faisant payer une redevance aux trekkers par exemple (ndlr, le parc appartient à l’état). La nature n’est pas une poubelle alors prenons en soin !

Je vous raconte très bientôt la deuxième partie de mon séjour !

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Emilie