Quoi de 9 au ciné (et ailleurs) ? #6

 

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Ces dernières semaines, je n’ai pas été beaucoup au ciné, pour cause d’agenda beaucoup trop rempli pour moi. Mais qu’importe, j’ai quand même eu le plaisir de retrouver les salles obscures pour 2 films et visionner tranquillement chez moi un DVD bien sympa. Je vous raconte ?

 

19256680.jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100226_030617.jpgNew York, I Love You de (beaucoup trop de réalisateurs)

Pitch : Depuis l’invention du cinéma, New York n’a jamais cessé de fasciner les cinéastes, qui y puisent d’infinies émotions dans des décors aussi spectaculaires qu’uniques. Des gratte-ciel miroitants aux parcs et aux rues qui sont comme autant de mondes, la ville a été immortalisée dans des milliers de films à travers des centaines d’atmosphères différentes. (Allociné)

J’avais vu en 2007 « Paris, Je t’aime » et je n’avais pas trop trop accroché, car les courts métrages associés en un seul film, pas du tout mon style. Néanmoins, j’avais quand même très envie de voir la version New Yorkaise, d’autant + que beaucoup d’acteurs que j’aime sont à l’affiche. Et bien là, très bonne surprise, ça n’a rien à voir avec notre « Paris, je t’aime » ! Là, même si ce sont des courts métrages, il y a un fil conducteur et on retrouve très souvent les personnages au fil des scènes. J’ai vu ce film avant que je prenne la décision d’aller à NYC donc, je suis encore + emballée, car ce New York ainsi filmé m’a énormément plu ! D’autant plus que certaines scènes sont très drôles et les histoires attachantes. Bref, un vrai petit bijou qui m’a mis énormément de baume au coeur. A voir !

 

 

19410139.jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100401_045234.jpgLes Extraordinaires Aventures d’Adèle Blanc Sec de Luc Besson

Pitch : En cette année 1912, Adèle Blanc-Sec, jeune journaliste intrépide, est prête à tout pour arriver à ses fins, y compris débarquer en Égypte et se retrouver aux prises avec des momies en tout genre. Au même moment à Paris, c’est la panique ! Un œuf de ptérodactyle, vieux de 136 millions d’années, a mystérieusement éclos sur une étagère du Jardin des Plantes, et l’oiseau sème la terreur dans le ciel de la capitale. Pas de quoi déstabiliser Adèle Blanc-Sec, dont les aventures révèlent bien d’autres surprises extraordinaires… (Allociné)

N’ayant jamais lu la B.D. de Jacques Tardi, je n’avais pas d’idée précise sur Adèle Blanc Sec, ne connaissant ni ses habitudes, ni ses aventures. Et bien, j’ai beaucoup aimé ! Je suis sûrement bon public, mais j’ai trouvé les images très belles, (imaginez un peu le Paris du début du XXème siècle !) le scénario tient debout et puis, c’est une jolie production 100% française (et c’est assez rare pour le signaler !) Quant à Louise Bourgoin, je l’ai trouvée méconnaissable et je trouve qu’elle a un bon jeu. Un film rafraichissant, même si j’ai entendu dire que les fans de la BD n’avaient pas aimé (car d’après ce que j’ai compris, les aventures de la BD ne sont pas les mêmes dans le film).

 

 

18949729.jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20080612_032813.jpgBroken English de Zoe Cassavettes (en DVD)

Pitch : En parfaite new-yorkaise, Nora, la trentaine bien sonnée, s’est développée une carapace à l’épreuve de l’amour. Cynique et désenchantée, elle se demande ce qu’elle pourrait bien faire pour trouver l’homme idéal. Elle n’est pas vraiment aidée par sa mère qui ne perd jamais une occasion de lui rappeler qu’elle est toujours célibataire.
Après une série de rendez-vous désastreux, elle rencontre Julien, un français insouciant et joyeux, venu à New York pour travailler sur un film qui finalement ne se fera pas. Nora se laisse un moment convaincre par l’insouciance de Julien, mais redoutant un nouvel échec amoureux, elle se refuse d’y croire et le laisse repartir en France.
Prise de remords, elle décide finalement d’aller à Paris, espérant enfin conjurer le sort de son train-train quotidien. Ce voyage sera l’occasion de reprendre en main sa destinée… (Allociné)

Je suis une grande fan de comédies ou films romantiques et j’avais très envie de voir ce film que j’avais loupé lors de sa sortie au cinéma (été 2008). J’aime voir des films où les histoires d’amour sont compliquées et où les gens se posent des bonnes questions et c’est exactement le cas avec ce film, même s’il manque de rythme. 2 personnes se rencontrent, se plaisent énormément mais sont séparés par un océan. Et si aucun des 2 ne fait le premier pas vers l’autre, on laisse l’occasion de voir passer peut-être passer l’amour de sa vie ? C’est la question que pose ce film et vu que je suis plutôt une fonceuse dans le domaine de l’amour, je l’ai trouvée pertinante. Un film à voir un dimanche soir, lové dans son canapé, entourée de douceurs.